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Mis en ligne : 27 Avril 2022.
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Mis en ligne le 17 Mars 2022.
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Mis en ligne le 6 Mars 2022.
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Mis en ligne le 10 Fevrier 2022.
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Mis en ligne le 21 Janvier 2022.
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Mis en ligne le 5 Novembre 2021.
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Mis en ligne le 27 Septembre 2021.
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Mis en ligne le 6 Mai Mars 2021.
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Mis en ligne le 25 Mars 2021.
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Mis en ligne le 14 Mars 2021.
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Mis en ligne le 01 Fevrier 2021.
Et comment croire de telles inepties alors que la situation de crise que nous connaissons conduit à une forte baisse des recettes de l’Etat tant sur les finances publiques que sur la Sécurité Sociale ?
Les services de l’Etat pour ne pas dire la technostructure centrale n’en finissent plus de traquer les foyers à plumer. Et chaque fois ce sont les couches intermédiaires qui trinquent !
La savante hypothèse des experts : durant la période de confinement, les français ont dû reporter bon nombre de rendez-vous médicaux, ajourner des interventions en milieu hospitalier. Forcément le niveau des prestations à prendre en charge par les organismes complémentaires a fortement baissé. Le gouvernement a chiffré cette baisse à 2,9 Milliards d’€. En réalité il s’agit d’une pause imposée et les actes médicaux qui n’ont pas été réalisés le seront dans les mois à venir. Il faut plus escompter sur un simple effet-report et il faudra alors disposer des fonds nécessaires pour rembourser les affiliés. Mais cela n’effleure à aucun instant l’esprit prédateur qui règne dans les ministères. Il faut taxer à tout prix.
En 2019, la Cour des comptes a relevé que les dispositifs gouvernementaux d’exonérations de cotisations sociales avaient permis aux entreprises engranger plus de 90 Milliards d’€ (3,75 points de PIB). Durant la crise et encore actuellement le gouvernement a mis au chapitre des pertes et profits les cotisations sociales qui n’ont pas été versées par les entreprises, pour un total évalué à minima à un peu plus de 50 Milliards d’€. Cette situation se traduit par « la mise en faillite » de la Sécurité Sociale qui doit désormais gérer ses dettes, ces dernières étant transférées vers la CADES (Caisse d’Amortissement de la Dette Sociale), organisme qui devait s’éteindre en 2024 et qui est prolongé pour dix ans au moins ! Nous n’en avons pas fini d’entendre parler du « trou de la Sécurité Sociale » ! Ces sommes pharaoniques viennent s’ajouter aux autres cadeaux fiscaux comme la suppression de l’ISF ou la baisse des taux de l’impôt sur les sociétés (passage de 33 à 25%). Et tout cela sans le moindre contrôle. Ce qui en revanche demeure le cœur de la stratégie des entreprises c’est la rémunération de l’actionnaire qui reste relativement élevée en 2020, 33 Milliards d’€ de dividendes versés par les entreprises françaises cotées en Bourse, après l’année record de 2019 à 57 Milliards d’€ (1430 Milliards de dollars dans le monde). Le comble c’est que ce sont les entreprises détenues par l’Etat qui ont majoritairement renoncé à verser les niveaux de dividendes prévus. Cherchez l’erreur !
Le gouvernement veut imposer une règle radicale qui consisterait à augmenter le taux de la Taxe sur les complémentaires santé qui est actuellement de 13,7 %. Rappelons que cette taxe est payée par les affiliés car elle est prélevée sur les cotisations perçues. L’opération viserait à récupérer les 2,9 Milliards d’€ « économisés », il suffirait alors de décider d’un taux exceptionnel et de puiser dans les réserves des organismes mutualistes ou autres. Ces recettes s’ajouteraient aux 5,17 Milliards collectés actuellement auprès des complémentaires-santé.
Pour les IEG la douche serait encore plus froide avec un double effet : la mise en œuvre de la CAMIEG TAX avec un prélèvement autoritaire de 180 Millions d’€, constitués à 80% des cotisations des personnels actifs et retraités du régime.
Avec les 176 M d’€ déjà rackettés en 2014, cela correspondrait à une contribution de 1200 € par ayant-droit ou à 15 € par mois de prestations de notre complémentaire (prestations CAMIEG 2019 = 259 Millions d’€).
Le second effet se produirait sur les deux CSM (Actifs et Retraités) avec l’application du nouveau taux de la TSA. Ce serait encore plusieurs dizaines de Millions d’€ prélevés sur les actifs et retraités des IEG.
Les assureurs privés et les groupes spécialisés de la protection sociale, eux sortiraient indemnes en cas d’application de cette proposition. Pour équilibrer les comptes et le ratio cotisations/prestations, elles appelleront à des hausses de cotisations et ce seront les affiliés qui supporteront les effets de cette taxation inacceptable. Actuellement, la taxe imposée aux contrats correspond à un mois et demi de cotisation.
Avec le projet gouvernemental, ce serait presque un trimestre, on marche sur la tête !
Et MACRON et son gouvernement continuent de nous dire que les impôts vont baisser !
Mis en ligne en Juillet 2020.
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